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L’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval

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Nouveau programme - Doctorat en criminologie

Développez une expertise professionnelle et des connaissances spécialisées en criminologie et des compétences complémentaires nécessaires à la recherche dans la discipline.

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Choisir d’étudier en travail social ou en criminologie dans notre école, c’est vous offrir un environnement d’études inclusif et stimulant. Nous contribuerons à vous doter d’un sens critique aiguisé en plus de faire de vous une personne compétente pour agir au sein de votre futur secteur d’activités professionnelles. Vous pourrez ainsi intervenir auprès des personnes et des collectivités d’ici et d’ailleurs.

Étudier en travail social

Choisissez parmi nos certificats, notre baccalauréat, nos maîtrises et notre doctorat.

Étudier en criminologie

La criminologie vous passionne? Nous vous proposons plusieurs programmes: le certificat, le baccalauréat, et la maîtrise avec mémoire

Revue Service social

Revue à caractère scientifique et professionnel, Service social s’adresse autant aux intervenantes et intervenants qu’à la communauté de recherche intéressée par la pratique sociale.

Stages et formation pratique

La formation pratique et les stages en travail social et en criminologie vous permettront de mettre vos connaissances en pratique.

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Profitez des différentes possibilités de mobilité internationale que vous offre notre école.

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Certificat en travail social

Certificat en gérontologie

Témoignages

Angy Riendeau-Dalphond

Diplômée au baccalauréat en criminologie

«J’ai su que je voulais travailler en criminologie alors que j’étais très jeune. Le domaine de la justice pénale étant partie prenante de ma vie en raison de l’influence professionnelle des membres de ma famille, je ne pouvais trouver un domaine qui me passionnerait davantage. La formation acquise ainsi que mes activités professionnelles et de bénévolat m’ont dépeint un portrait fort élogieux de diverses disciplines en justice pénale. Étant toutefois soucieuse d’acquérir des connaissances pratiques en criminologie, j’ai investi une grande partie de mes temps libres auprès d’organismes communautaires. Ces acquis m’ont permis de mieux cerner plusieurs enjeux relatifs à la justice pénale, ce qui m’a amenée à développer un vif intérêt pour la recherche.»

Isabelle Lafleur

Diplômée du doctorat en travail social

«J’ai terminé un doctorat en travail social en 2000. J’avais fait un bac et une maîtrise dans une autre université. À l’époque, il était vivement conseillé de faire son doctorat dans une université différente de la maîtrise. Par ailleurs, l’Université Laval était la seule université québécoise où ce doctorat se donnait. J’ai aimé étudier dans cette université près de la communauté. Le doctorat m’a bien outillée pour être autonome et crédible dans mon travail. J’ai travaillé de nombreuses années en recherche et, par la suite, je suis entrée dans la fonction publique québécoise. Même là, des études doctorales servent: j’ai rapidement eu des mandats de travail élargis et travaillé à la relance ou au développement de projets. Pour ce qui est de la discipline, le travail social est applicable et utile pour comprendre et agir sur de multiples problématiques qui se présentent dans différents milieux d’emploi.»

Veronique Gauthier

Étudiante au doctorat en travail social

À l’École de travail social et de criminologie, j’ai eu l’opportunité de grandir à la fois comme professionnelle, mais également comme être humain. Le soutien financier obtenu a allégé mon fardeau financier, ce qui m’a permis de mettre l'accent sur mon projet de thèse qui porte sur les savoirs des femmes ayant des incapacités physiques en matière de prévention des agressions sexuelles.   Il est facile de souffrir d'isolement dans la réalisation de son parcours doctoral et encore plus lors de la COVID-19. Il n'a pas été facile de me lever chaque jour et être en contact direct avec des récits de vie empreints de traumatismes, mais également de résilience. La bourse m'a donné le courage de persévérer. De plus, elle m’a inspirée à aider les prochaines générations d’étudiantes et étudiants et ainsi, redonner à la communauté universitaire. L’Université Laval est pour moi une grande maison qui permet le partage des savoirs de chacun pour amener de réels changements sociaux dans notre communauté.